Les 23~24 Juin 2011 au Pouchiou (40120)
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Les 23~24 Juin 2011 au Pouchiou (40120)
Bonjour tout le monde,
Avant le départ en vacances, un galop d'essai s'imposait, histoire de vérifier que les travaux sur les freins arrière donnaient les résultats escomptés.
En fait, ce que j'écris là est une justification inutile. Il était prévu depuis notre sortie à Aubeterre de rendre visites aux amis Myosette et Jean François sur leurs terres landaises, à l'airial Le Pouchiou, où nous étions convenus de nous retrouver avant juillet.
L'endroit est introuvable sans indications précises, et encore, il faut avoir bonne vue pour ne pas rater l'étroit chemin qui s'enfonce dans la pinède. De la route départementale, il impossible de soupçonner que ce chemin aboutit à une habitation. En réalité, une telle configuration était autrefois courante dans les Landes, lorsqu'il y avait encore des fermes et des bergeries posées sur un ilôt de verdure, l'airial, au milieu d'une végétation rude et rare avant la plantation systématique en pins maritimes.
Le Pouchiou se présente ainsi :
Avant le départ en vacances, un galop d'essai s'imposait, histoire de vérifier que les travaux sur les freins arrière donnaient les résultats escomptés.
En fait, ce que j'écris là est une justification inutile. Il était prévu depuis notre sortie à Aubeterre de rendre visites aux amis Myosette et Jean François sur leurs terres landaises, à l'airial Le Pouchiou, où nous étions convenus de nous retrouver avant juillet.
L'endroit est introuvable sans indications précises, et encore, il faut avoir bonne vue pour ne pas rater l'étroit chemin qui s'enfonce dans la pinède. De la route départementale, il impossible de soupçonner que ce chemin aboutit à une habitation. En réalité, une telle configuration était autrefois courante dans les Landes, lorsqu'il y avait encore des fermes et des bergeries posées sur un ilôt de verdure, l'airial, au milieu d'une végétation rude et rare avant la plantation systématique en pins maritimes.
Le Pouchiou se présente ainsi :
On se rend bien compte, que l'endroit sera idéal pour y dormir au calme, à l'écoute d'un brame de chevreuil ou de quelqu'oiseau nocturne.
La maison landaise, agrandie et restaurée par Jean François est une magnifique demeure dont la terrasse sous auvent est tout naturellement destinée à ces repas, où, dans la chaleur de la discussion libre on se déboutonne d'autant plus facilement que l'on se sent entre amis et que des vins capiteux sont débouchés.
Au moment de passer à table, seule la carafe d'eau trône le temps de la prise de photo. Mais les verres ballon en cristal de Roumanie ne trompent pas l'observateur affûté :
Après le repas, Sarah redevient une petite fille :
.
Autour de l'airial, la forêt est triste, suite aux tempêtes successives et aux coupes rases qui en ont résultaient. Cela ajoute encore à la nostalgie des fermes abandonnées (mais qui peuvent devenir résidences de villégiature ou habitations principales) que l'on rencontre alentour.
Ici le four à pain qui ne fume plus :Et à côté, le bâtiment à colombages typiques, avec sa toiture effondrée :
Cependant, couleur et délicatesse sont toujours présentes; il suffit d'abaisser le regard :
Sarah ne manqua pas de le faire, pour composer un bouquet champêtre :
Je n'en dirai pas davantage sur les moments de partage qui n'appartiennent qu'à ceux qui ont la chance des les vivre. Ce fut un très grand plaisir pour nous, et nous nous sommes mutuellement promis de nous voir le plus souvent possible, entre nous et avec d'autres amis aussi que nous n'oublions pas. Ils se reconnaîtront.
Merci à Myosette et Jean François pour leur accueil chaleureux.
Bonne vacances à tous.
Dans l'attente de la joie de revoir et de découvrir les Amis du LT pour le rassemblement d'été,
André
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