Inde ....Suite
2 participants
Page 1 sur 1
Inde ....Suite
Je ne m'étais pas trompé, à peine deux secondes aprés avoir validé le précédent message, que nous nous sommes retrouvés dans l'obscurité....
Un cerbère à mis en route le "générator" et nous voilà repartis pour quelques heures dans le bruit de tous les groupes qui ronronnent dans le quartier...
Donc, lors du post précédent, nous nous sommes arrêtés à Nawalghar, lors de la célèbre foire aux chameaux.
Nous continuons vers le sud, vers d'autres contrées, dans la chaleur que notre LT semble bien supporter, mais qui nous pose des problèmes la nuit.
La pose de ventilos en partie haute du couchage nous a rendue service.
Même un soir ou pourtant nous avons fait un stop dans un temple Jaïn, ou le "gourou" nu nous a ouvert ses portes, nous a fait préparer une chambre et convié au "dîner" !
Alors que trois dames tout de blanc vêtues me conduisaient auprès de ce "gourou", j'ai été surpris de le voir assis, nu, en tailleur auprés d'une assemblée de fidèles !
Nous avons poliment refusé les offres de chambre et repas, préférant le confort douillet de notre LT.
Néanmoins, les "dames" de service, sont venues rencontrer Myosette pour voir comment ses drôles de touristes voyageaient, alors que je prenais une "douche" dans des installations sommaires, il faut s'adapter au "confort" local.
Nous poursuivons notre voyage vers Pushkar, que nous avions déjà parcouru à deux reprises durant les 15 dernières années.
Gros bourg, dans le désert du Thar, célèbre pour son temple, son lac sacré et sa gigantesque foire aux chameaux à la pleine lune de Novembre.
Nous éviterons la Foire pour l'avoir déjà vécue à deux reprises, mais nous aurons plaisir à flâner dans cette ville aux palais décatis, aux ruelles pleines de vie.
Un moyen de locomotion ou l'on prend de la "hauteur".
Le LT dans le désert du Thar à Pushkar ou nous devions bivouaquer pour la nuit.
En final, nous reviendrons sur le parking de l'Hôtel qui nous avait hébergé il y a 15 ans, pour 100 roupies la nuit, (1,40€).
Aux quatre coins des rues, on trouve de quoi satisfaire sa faim, le tout pour quelques roupies.
La plénitude Indienne, des attitudes naturelles...
Les enfants sont les rois en Inde, il n'est pas rare de les voir seuls dans les rue alors qu'ils ont à peine 2ans !
Ganesh, une des nombreuses divinités que compte l'Inde.
Le Rajasthan, ce n'est pas que la chaleur et la poussière, c'est aussi des couleurs, sans doute l'état le plus coloré. Ici des espèces de couronnes que les femmes portent sur la tête et qui leur permet de porter tout ce qui se porte au quotidien.
Un coiffeur, en dehors de boutiques fixes, chacun peut s'installer ou il veut pour vous coiffer, vous raser, vous faire un massage énergique, le tout pour une poignée de roupies.
Les enfants, toujours de bons modèles...
Ah les vaches... On les trouve partout, au milieu de la route, les autoroutes, dans les endroits les plus incongrus, nous aurons l'occasion de les retrouver souvent.
Par contre, loin du mythe de la vache sacrée, elles ont toutes un propriétaire qui les lâchent en pleine ville, elles n'ont de sacrée que leur nom, elles donnent le lait, mais rarement la viande, car l'Inde est surtout végétarienne.
Pushkar en soirée.
Je valide l'envoi avant la prochaine coupure électrique...
Post suivant dans la foulée.
Un cerbère à mis en route le "générator" et nous voilà repartis pour quelques heures dans le bruit de tous les groupes qui ronronnent dans le quartier...
Donc, lors du post précédent, nous nous sommes arrêtés à Nawalghar, lors de la célèbre foire aux chameaux.
Nous continuons vers le sud, vers d'autres contrées, dans la chaleur que notre LT semble bien supporter, mais qui nous pose des problèmes la nuit.
La pose de ventilos en partie haute du couchage nous a rendue service.
Même un soir ou pourtant nous avons fait un stop dans un temple Jaïn, ou le "gourou" nu nous a ouvert ses portes, nous a fait préparer une chambre et convié au "dîner" !
Nous avons poliment refusé les offres de chambre et repas, préférant le confort douillet de notre LT.
Néanmoins, les "dames" de service, sont venues rencontrer Myosette pour voir comment ses drôles de touristes voyageaient, alors que je prenais une "douche" dans des installations sommaires, il faut s'adapter au "confort" local.
Nous poursuivons notre voyage vers Pushkar, que nous avions déjà parcouru à deux reprises durant les 15 dernières années.
Gros bourg, dans le désert du Thar, célèbre pour son temple, son lac sacré et sa gigantesque foire aux chameaux à la pleine lune de Novembre.
Nous éviterons la Foire pour l'avoir déjà vécue à deux reprises, mais nous aurons plaisir à flâner dans cette ville aux palais décatis, aux ruelles pleines de vie.
En final, nous reviendrons sur le parking de l'Hôtel qui nous avait hébergé il y a 15 ans, pour 100 roupies la nuit, (1,40€).
Aux quatre coins des rues, on trouve de quoi satisfaire sa faim, le tout pour quelques roupies.
Les enfants sont les rois en Inde, il n'est pas rare de les voir seuls dans les rue alors qu'ils ont à peine 2ans !
Par contre, loin du mythe de la vache sacrée, elles ont toutes un propriétaire qui les lâchent en pleine ville, elles n'ont de sacrée que leur nom, elles donnent le lait, mais rarement la viande, car l'Inde est surtout végétarienne.
Je valide l'envoi avant la prochaine coupure électrique...
Post suivant dans la foulée.
Invité- Invité
Voyage Inde Suite
Grrrrrrrrr....
Ce qui devait arriver... arriva,
Je viens de passer deux heures en saisie et voilà que le post suivant pourtant validé s'est évaporé dans la nature.
Je vais repasser à nouveau des heures à tenter de le reposter !
Jeff
Ce qui devait arriver... arriva,
Je viens de passer deux heures en saisie et voilà que le post suivant pourtant validé s'est évaporé dans la nature.
Je vais repasser à nouveau des heures à tenter de le reposter !
Jeff
Invité- Invité
Voyage Inde.....Suite
A nouveau sur le PC pour tenter de passer à nouveau la suite qui a été validée, mais qui s'est évaporée dans la nature...
Aprés Pushkar en Rajasthan,, nous voici en route vers le sud, c'était notre projet initial. Le but étant de faire un parcours côtier en évitant les grandes cités qui ne sont pas de notre goût.
Nous tenterons d'éviter Bombay et nous tomberons en plein dedans ! Routes abominables, des trous en quantité, des bouchons impressionnants, des bidonvilles à perte de vue, des miséreux...Nous y passerons deux heures trente à tenter d'extirper le LT qui n'a pas apprécié la visite.
Nous rejoindrons la côte au sud de Bombay, des contrées plus calmes, plus vertes et moins polluées.
Nous rejoindrons Jaïgarh
Un port de pêche qui n'en n'est pas un dés lors que les eaux peu profondes obligent les pêcheurs à débarquer leur pêche dans des barques qui sont ensuite à nouveau débarquées sur des charrettes qui rejoindront la plage.
Aussitôt débarqués les poissons sont en vente.
C'est le poisson qui est en vente, pas l'enfant...
Le riz sèche en bord de route.
On ne saura jamais à quoi servira ces piments et citron accrochés souvent aux véhicules. serait-ce pour éviter la prochaine crevaison ? A voir le trou dans le pneumatique.
Notre bivouac à Malwan, tout proche de la plage, sous les palmiers....
Malwan, c'est aussi la pêche côtière au filet que l'on étire en mer et que l'on ramène sur la plage.
Pour une pêche bien maigre pour les 20 personnes à tirer le filet sur le côte.
Celui-ci pourra néanmoins nourrir sa famille.
Tiens, voilà le frigo qui refuse de faire du froid, un bon démontage du brûleur, et c'est à nouveau reparti.
Je valide l'envoi avant que la cata arrive...
Aprés Pushkar en Rajasthan,, nous voici en route vers le sud, c'était notre projet initial. Le but étant de faire un parcours côtier en évitant les grandes cités qui ne sont pas de notre goût.
Nous tenterons d'éviter Bombay et nous tomberons en plein dedans ! Routes abominables, des trous en quantité, des bouchons impressionnants, des bidonvilles à perte de vue, des miséreux...Nous y passerons deux heures trente à tenter d'extirper le LT qui n'a pas apprécié la visite.
Nous rejoindrons la côte au sud de Bombay, des contrées plus calmes, plus vertes et moins polluées.
Nous rejoindrons Jaïgarh
Un port de pêche qui n'en n'est pas un dés lors que les eaux peu profondes obligent les pêcheurs à débarquer leur pêche dans des barques qui sont ensuite à nouveau débarquées sur des charrettes qui rejoindront la plage.
C'est le poisson qui est en vente, pas l'enfant...
On ne saura jamais à quoi servira ces piments et citron accrochés souvent aux véhicules. serait-ce pour éviter la prochaine crevaison ? A voir le trou dans le pneumatique.
Malwan, c'est aussi la pêche côtière au filet que l'on étire en mer et que l'on ramène sur la plage.
Pour une pêche bien maigre pour les 20 personnes à tirer le filet sur le côte.
Celui-ci pourra néanmoins nourrir sa famille.
Tiens, voilà le frigo qui refuse de faire du froid, un bon démontage du brûleur, et c'est à nouveau reparti.
Je valide l'envoi avant que la cata arrive...
Invité- Invité
Re: Inde ....Suite
Et la cata est à nouveau arrivée....
2h plus 2H = 4 heures de saisie pour des ....prunes.
Il fera jour demain, je stoppe pour ce jour.
Salut à vous tous.
Jeff
2h plus 2H = 4 heures de saisie pour des ....prunes.
Il fera jour demain, je stoppe pour ce jour.
Salut à vous tous.
Jeff
Invité- Invité
Inde ....Suite
Bonjour à vous tous,
Il est 6H09 chez vous en France, ici nous sommes en avance de 4H30, donc il est 10H40 du matin....C'est pas que nous sommes matinaux, juste que le rythme indien est différent, on se couche tôt et de ce fait, on se lêve tôt, donc en décalage avec les habitudes bien de chez nous. Si vous souhaitez adopter un rythme différent, vous allez vite comprendre que vous avez tout intérêt à en changer...
Aprés les déconvenues rencontrées hier pour les posts, je vais consacrer la dernière journée de l'année à tenter d'alimenter la rubrique.
Nous reprenons donc la route du sud.
Nous arriverons à Malwan, petit port de pêche qui n'en n'est pas un, ici on y pratique surtout la pêche au filet côtier.
Nous trouvons un petit hôtelier qui consent à nous céder un espace sur son parking, il n'a aucun client, la "saison" des touristes Indiens commence en novembre.
Emplacement de choix avec eau, sous les palmiers, pas de circulation routière, à quelques mètres de la plage.
Nous y resterons deux nuits pour la modique somme de 200 roupies; ( 3€ ).
Le filet est embarqué sur un bâteau et posé au large, deux équipent de "tireurs" ( une vingtaine d'hommes" ramènent le filet par de petits en arrière.
La pêche est maigre au regard du nombre de pêcheurs et du temps passé.
Un gros poisson quand-même qui fera le bonheur de ce pêcheur.
Fin de journée sur la plage de Malwan.
Reprise de la route.
Une petite liasse de quelques piments avec un citron, le tout accroché au véhicule, nous n'en connaitrons pas la signification. Peut-être pour conjurer le sort de la crevaison qui guette, la roue de secours donne quelques signes avant coureurs...
Nos arrêts seront toujours des rencontres forcées avec les Indiens qui n'ont de cesse de chercher à savoir comment nous voyageons, qui nous sommes, d'oû nous venons, oû allons nous, avons nous des enfants...Bref, il est difficile d'échapper à cet état de fait, ce que ne savent pas les indiens ,c'est que c'est à longueur de journée...
ils n'hésiterons pas à grimper dans le véhicule, ouvrir les placards, le cabinet de toilette...et faire les commentaires à leurs amis, comme si nous n'étions pas là !
Ceux ( celles)là resterons sagement à la porte.
Il est rare de rouler en Inde durant quelques km sans rencontrer âme qui vive, mais cela nous est arrivé, nous avions alors comme compagnie, des épouvantails au repos...
Nous roulions le matin de bonne heure pour éviter les fortes chaleurs, c'est alors que nous passions dans des paysages au soleil levant.
Ici un petit port de pêche.
C'est aussi l'occasion de rencontres, comme ce vieux monsieur qui hume l'air frais du matin.
Ou alors ce vieux pêcheur qui a passé sa vie sur l'eau.
Je vais valider ce post avant qu'il ne disparaisse à nouveau.
Ne pas faire attention aux doublons , ils sont dus aux nombreux posts qui ont disparus...
Il est 6H09 chez vous en France, ici nous sommes en avance de 4H30, donc il est 10H40 du matin....C'est pas que nous sommes matinaux, juste que le rythme indien est différent, on se couche tôt et de ce fait, on se lêve tôt, donc en décalage avec les habitudes bien de chez nous. Si vous souhaitez adopter un rythme différent, vous allez vite comprendre que vous avez tout intérêt à en changer...
Aprés les déconvenues rencontrées hier pour les posts, je vais consacrer la dernière journée de l'année à tenter d'alimenter la rubrique.
Nous reprenons donc la route du sud.
Nous arriverons à Malwan, petit port de pêche qui n'en n'est pas un, ici on y pratique surtout la pêche au filet côtier.
Nous trouvons un petit hôtelier qui consent à nous céder un espace sur son parking, il n'a aucun client, la "saison" des touristes Indiens commence en novembre.
Emplacement de choix avec eau, sous les palmiers, pas de circulation routière, à quelques mètres de la plage.
Nous y resterons deux nuits pour la modique somme de 200 roupies; ( 3€ ).
Le filet est embarqué sur un bâteau et posé au large, deux équipent de "tireurs" ( une vingtaine d'hommes" ramènent le filet par de petits en arrière.
La pêche est maigre au regard du nombre de pêcheurs et du temps passé.
Un gros poisson quand-même qui fera le bonheur de ce pêcheur.
Fin de journée sur la plage de Malwan.
Reprise de la route.
Une petite liasse de quelques piments avec un citron, le tout accroché au véhicule, nous n'en connaitrons pas la signification. Peut-être pour conjurer le sort de la crevaison qui guette, la roue de secours donne quelques signes avant coureurs...
Nos arrêts seront toujours des rencontres forcées avec les Indiens qui n'ont de cesse de chercher à savoir comment nous voyageons, qui nous sommes, d'oû nous venons, oû allons nous, avons nous des enfants...Bref, il est difficile d'échapper à cet état de fait, ce que ne savent pas les indiens ,c'est que c'est à longueur de journée...
ils n'hésiterons pas à grimper dans le véhicule, ouvrir les placards, le cabinet de toilette...et faire les commentaires à leurs amis, comme si nous n'étions pas là !
Ceux ( celles)là resterons sagement à la porte.
Il est rare de rouler en Inde durant quelques km sans rencontrer âme qui vive, mais cela nous est arrivé, nous avions alors comme compagnie, des épouvantails au repos...
Nous roulions le matin de bonne heure pour éviter les fortes chaleurs, c'est alors que nous passions dans des paysages au soleil levant.
Ici un petit port de pêche.
C'est aussi l'occasion de rencontres, comme ce vieux monsieur qui hume l'air frais du matin.
Ou alors ce vieux pêcheur qui a passé sa vie sur l'eau.
Je vais valider ce post avant qu'il ne disparaisse à nouveau.
Ne pas faire attention aux doublons , ils sont dus aux nombreux posts qui ont disparus...
Invité- Invité
Voage Inde .....suite
Il semble que ce jour soit plus favorable, je vais donc continuer en validant assez rapidement pour éviter de perdre le tout dés la coupure électrique ou les caprices du site...
Reprise de la route vers d'autres contrées...
De bonne heure le matin, c'est aux dames qu'est dévolu la corvée d'eau...
Il faut parfois faire beaucoup de chemin pour chercher l'indispensable.
Parfois le puits est à proximité de la maison.
Ce qui facilite le portage...
Vous remarquerez que les femmes sont toujours habillées de leur saris, quels que soient les travaux qu'elles entreprennent.
Dans le sud, au contraire du nord, la nature est généreuse et offre des fleurs en quantité.
Le liseron qui envahit certaines plages.
Une marchande de fleurs.
Les Indiens sont de gros consommateurs de fleurs.
Les occasions sont nombreuses et variées, on fleurit la chevelure de sa dame, (Du jasmin dans le sud), on dépose des fleurs, souvent des colliers de fleurs différentes, dans les temples, on fleurit parfois une vâche ! On s'attache aussi les faveurs de sa divinité posée sur le tableau de bord de sa voiture...La route est tellement meurtrière. On fleurit aussi ses invités, bref, de nombreuses occasions d'acheter des fleurs, dont les prix sont peu onéreux.
Les fleurs se marient parfaitement avec les saris...
Par contre, celle-ci, nous ne la connaissions pas.
Quant à cette feuille, point de fleur, c'est du PAN.
Une feuille, de la chaux, des épices, une noix de bétel écrasée, délicatement roulée et pliée qui est mise en bouche, commence alors une lente mastication qui avec la salive produit un liquide rougeâtre qui teinte les lêvres, mais aussi les dents...
Ce Pan est sensé avoir des vertues plus ou moins euphorisantes, il est consommé par les hommes, mais aussi par les femmes d'un certain âge.
Si vous adressez la parole à un adepte, et ils sont nombreux, (simple quidam, policier, commerçant, cadre, patron...), votre interlocuteur lèvera le menton pour ne pas perdre une larme de son PAN, et vous répondra dans un charabia incompréhensible, la bouche emplie de ce liquide rougeâtre. Essayez de causer la bouche emplie d'eau et vous comprendrez alors la difficulté à s'exprimer sans "verser" à terre...
Le "produit" étant devenu "jetable" au bout de quelques heures, celui-ci est éjecté d'un jet vif et puissant à même le sol. Le sol garde trace de ses restes tout au long de la journée.
Avec mes excuses pour les fêtard de réveillon à venir, mais nous sommes confrontés au quotidien à ces pratiques courantes en Asie.
Reprise de la route vers d'autres contrées...
De bonne heure le matin, c'est aux dames qu'est dévolu la corvée d'eau...
Il faut parfois faire beaucoup de chemin pour chercher l'indispensable.
Parfois le puits est à proximité de la maison.
Ce qui facilite le portage...
Vous remarquerez que les femmes sont toujours habillées de leur saris, quels que soient les travaux qu'elles entreprennent.
Dans le sud, au contraire du nord, la nature est généreuse et offre des fleurs en quantité.
Le liseron qui envahit certaines plages.
Une marchande de fleurs.
Les Indiens sont de gros consommateurs de fleurs.
Les occasions sont nombreuses et variées, on fleurit la chevelure de sa dame, (Du jasmin dans le sud), on dépose des fleurs, souvent des colliers de fleurs différentes, dans les temples, on fleurit parfois une vâche ! On s'attache aussi les faveurs de sa divinité posée sur le tableau de bord de sa voiture...La route est tellement meurtrière. On fleurit aussi ses invités, bref, de nombreuses occasions d'acheter des fleurs, dont les prix sont peu onéreux.
Les fleurs se marient parfaitement avec les saris...
Par contre, celle-ci, nous ne la connaissions pas.
Quant à cette feuille, point de fleur, c'est du PAN.
Une feuille, de la chaux, des épices, une noix de bétel écrasée, délicatement roulée et pliée qui est mise en bouche, commence alors une lente mastication qui avec la salive produit un liquide rougeâtre qui teinte les lêvres, mais aussi les dents...
Ce Pan est sensé avoir des vertues plus ou moins euphorisantes, il est consommé par les hommes, mais aussi par les femmes d'un certain âge.
Si vous adressez la parole à un adepte, et ils sont nombreux, (simple quidam, policier, commerçant, cadre, patron...), votre interlocuteur lèvera le menton pour ne pas perdre une larme de son PAN, et vous répondra dans un charabia incompréhensible, la bouche emplie de ce liquide rougeâtre. Essayez de causer la bouche emplie d'eau et vous comprendrez alors la difficulté à s'exprimer sans "verser" à terre...
Le "produit" étant devenu "jetable" au bout de quelques heures, celui-ci est éjecté d'un jet vif et puissant à même le sol. Le sol garde trace de ses restes tout au long de la journée.
Avec mes excuses pour les fêtard de réveillon à venir, mais nous sommes confrontés au quotidien à ces pratiques courantes en Asie.
Invité- Invité
Inde ....Suite
Voilà que nous sommes dans le noir, encore une coupure électrique, j'ai validé, mais avec un peu de chance ça devrait passer....
Je continue alors.
Toujours sur la route pour des rencontres différentes et variées.
Ici, on nous offrira de boire le jus de Coconut, en fait très peu de jus pour le volume du fruit, ça se boit avec une paille et c'est frais quand la chaleur est bien présente.
Nous faisons nos "courses" au quotidien, des produits toujours frais, la grande distribution étant pratiquement inconnue sauf dans quelques grandes villes.
Les indiens font leurs courses au coup par coup, certains n'ont pas les moyens de conserver des aliments au frais, le réfrigérateur est souvent inabordable pour les moins argentés.
Les légumes sont bon marchés et trouvables partout, dans n'importe quel coin perdu.
Les fruits tels que les pommes, les oranges, le raisin, sont plus onéreux, seules les bananes, les mangues, papayes...sont abordables pour les indiens peu argentés.
Les courses sont l'occasion de voir un tas de petits métiers disparus chez nous, notamment le meunier qui est présent partout, y compris dans les plus grandes villes. Chacun peut y apporter son grain, riz principalement, et faire moudre à la demande. C'est le bruit caractéristique de son métier qui attire notre attention.
Oui, ce sont des bananes que l'on trouve principalement dans le sud. Des bananes roses, un peu plus chères, mais délicieuses à souhait.
En règle générale, les bananes sont toutes bonnes, elles ne sont jamais passées dans les frigos, elles conservent leur goût quelles quelles soient.
Une particularité : elles se vendent le plus souvent à l'unité ! Les petites entre 1,5 Rs et 2 Rs, les moyennes 4 à 5 Rs, et les grandes à 5 Rs.
Les Indiens en sont de grands consommateurs et nous aussi.
Nos arrêts sont souvent ponctués de cris d'enfant, ici la "récré", ceux là réclament "one picture please"...
Héritage de la colonisation Anglaise, les écoliers, lycéens, portent un uniforme.
Habits différents suivant l'école, le collège, le lycée...
Les filles ne sont pas en reste, ça va du ruban dans les cheveux, aux jupes, les gilet, en passant par le foulard aux couleurs de l'école, nous verrons cela plus loin dans les posts à venir.
Si mes souvenirs sont bons, je n'ai vu qu'une seule fois des écoliers (es) sans porter un uniforme.
Cela va de la chemise, du pantalon, de la cravate, des chaussettes, bref tout ce qui peut différencier les enfants. Néanmoins, les chaussures doivent être en option, car de nombreux enfants vont à l'école pieds-nus.
L'art du portage qui est une spécialité des femmes, on porte tout ou presque sur la tête et dans une facilité déconcertante.
Je continue alors.
Toujours sur la route pour des rencontres différentes et variées.
Ici, on nous offrira de boire le jus de Coconut, en fait très peu de jus pour le volume du fruit, ça se boit avec une paille et c'est frais quand la chaleur est bien présente.
Les indiens font leurs courses au coup par coup, certains n'ont pas les moyens de conserver des aliments au frais, le réfrigérateur est souvent inabordable pour les moins argentés.
Les légumes sont bon marchés et trouvables partout, dans n'importe quel coin perdu.
Les fruits tels que les pommes, les oranges, le raisin, sont plus onéreux, seules les bananes, les mangues, papayes...sont abordables pour les indiens peu argentés.
Les courses sont l'occasion de voir un tas de petits métiers disparus chez nous, notamment le meunier qui est présent partout, y compris dans les plus grandes villes. Chacun peut y apporter son grain, riz principalement, et faire moudre à la demande. C'est le bruit caractéristique de son métier qui attire notre attention.
En règle générale, les bananes sont toutes bonnes, elles ne sont jamais passées dans les frigos, elles conservent leur goût quelles quelles soient.
Une particularité : elles se vendent le plus souvent à l'unité ! Les petites entre 1,5 Rs et 2 Rs, les moyennes 4 à 5 Rs, et les grandes à 5 Rs.
Les Indiens en sont de grands consommateurs et nous aussi.
Habits différents suivant l'école, le collège, le lycée...
Les filles ne sont pas en reste, ça va du ruban dans les cheveux, aux jupes, les gilet, en passant par le foulard aux couleurs de l'école, nous verrons cela plus loin dans les posts à venir.
Si mes souvenirs sont bons, je n'ai vu qu'une seule fois des écoliers (es) sans porter un uniforme.
Cela va de la chemise, du pantalon, de la cravate, des chaussettes, bref tout ce qui peut différencier les enfants. Néanmoins, les chaussures doivent être en option, car de nombreux enfants vont à l'école pieds-nus.
Invité- Invité
Inde ....Suite
Une photo d'entrée qui vous donnera une idée de ce que peut être le net à New Delhi...
Voyez un peu.... cherchez le bon fil, celui qui transporte mes posts on ne sait oû.
Le dernier sur GOA qui était pratiquement terminé et qui s'est évanoui dans la nature...
Donc, à nouveau, je poste sur GOA en espérant que ce dernier arrivera à bon port.
Aprés de longues journées sur les routes pas toujours faciles, la chaleur, les Indiens qui , n'arrêtent pas de nous casser les pieds, les péages à la tête du client pour entrer dans un village...et pour en ressortir. Les panneaux indicateurs absents, ou alors en sanscrit...
Les routes en cul de sac, pour lesquelles il faut faire retour sur des dizaines de Km, un passage en bac ou le LT ne pouvait plus avancer, ni reculer, ses espèces d'imbéciles d'employés qui pensaient qu'en forçant le passage ça rentrerait...Les inombrables gendarmes couchés qui sont ici par séries de 5 à 6 et avec des hauteurs pas possibles, qui nous obligent à reculer pour passer ailleurs... A ces routes qui n'en n'ont que le nom, car plus de route du tout, on cherche un semblant de route, on stoppe le véhicule pour étudier l'endroit ou le réservoir de GPL ne raclera pas, à la roue de secours de dessous qui nous met le LT en équilibre sur un dos de "châmeau"...Aux supports de pivots qui prennent des coups pas possibles...
A ces chauffeurs de bus qui sont de vrais criminels en vous jettant au fossé car ils ont l'habitude de vous double dans les virages alors qu'un autre bus arrive en face...
A ces "drivers" de camions poussifs qui se calent au beau milieu de la chaussée, (Pardon : chemin), et qui vous empêchent de les doubler....
A ces conducteurs qui ont le doigt collé sur le klakson quel que soit le moment, il commencent à klaksonner à votre vue, ensuite, il reklaksonnent pour vous informer qu'il veulent doubler, même si la voie n'est pas libre...Pas grave, la main sur le klakson, ils entament le dépassement en vous serrant au max, si vous les laissez passer, ils ont de grandes chances de vous jetter dans le fossé. Sauf que on ne gagne pas à chaque fois à ce jeu avec le LT, on vous informera du résultat des courses le moment venu, alors qu'il sera temps de consacrer un post dédié à la route.
Voilà pourquoi, en partie, il nous tardait d'arriver à Agonda pour décompresser avant de repartir de plus belle.
Bref, vous l'aurez compris, et on vous en dira encore plus d'ici quelques temps, il nous fallait un endroit oû se reposer.
Bien que la plage ne soit un de nos endroits préféré, nous avons trouvé un bon spot.
C'est un endroit connu des Camping Caristes qui sillonnent le pays. Vous aurez bien compris qu'ils ne sont pas nombreux.
Assez nombreux quant à ceux qui ont investi cet endroit paradisiaque .
Je pense à Eric et sa famille, les "THELIOT" qui sont partis il y a quelques années durant un an sur les routes Indiennes et qui ont fréquenté le site d'Agonda.
A "NATETJEAN", un couple de C.C qui est aussi passé par là et qui continue son tour du monde en Amérique du sud, et que je salue pour les bons tuyaux, ses points GPS. Nous suivons leur périple au travers de leur site.
Aprés le descriptif ci dessus, vous comprendrez alors que nous sommes bien tombés...
Toujours des vâches...
[/url
Vâches au couchant, soleil au levant...
Enfin du repos durant quelques jours.
Ballades sur la plage, baignades dans une eau à 34°, promenades dans le tout petit village peu fréquenté à l'époque ou nous y étions.
C'est aussi le poisson du matin qui nous est proposé par la femme d'un pêcheur et que l'on grillera entre trois pierres.
Nous louerons un scooter pour aller visiter les environs.
Nous "farnienterons" sous les palmiers;
Nous lierons contact avec cet homme qui grimpe chaque jour aux palmiers pour en récolter la sève qui une fois fermentée fera un alcool apprécié des locaux : le FENI.
Bref, vous l'aurez compris, ce fut un endroit de rêve sur la route du grand sud.
Nous comprendrons aussi pourquoi les aventuriers "Soixanthuitards", ( c'est de moi), avaient choisi ce lieu.
[url=https://servimg.com/view/15689611/418]
Il est 8H00, la femme d'un pêcheur vient nous proposer le poisson que nous ferons sur le grill pour midi.
C'est cet homme qui va récolter la sève des palmiers pour en faire le FENI.
Elle n'est pas belle la vie ?
C'est aussi le piment qui sèche au bord des routes sur la route du cap. Personne ne songerait à rouler dessus.
Il ne leur faut pas grand place pour monter une boutique...
Ils ne sont pas jolis les poissons de la vendeuse ?
Au petit matin.
Je l'appelle "la maison rouge"... juste une faute de goût, le scooter aurait pu être rouge.
Baignade du Dimanche. Les dames se baignent en saris, jamais à l'occidentale.
Un ciel d'orage en soirée. En fait, il parait que c'est courant, il ne pleut par pour autant.
Agonda est un endroit ou les couchers de soleil sont fantastiques.
Vous l'aurez bien compris, si ce n'était pas si loin de Delhi, nous y reviendrions avec plaisir...
Voyez un peu.... cherchez le bon fil, celui qui transporte mes posts on ne sait oû.
Le dernier sur GOA qui était pratiquement terminé et qui s'est évanoui dans la nature...
Donc, à nouveau, je poste sur GOA en espérant que ce dernier arrivera à bon port.
Aprés de longues journées sur les routes pas toujours faciles, la chaleur, les Indiens qui , n'arrêtent pas de nous casser les pieds, les péages à la tête du client pour entrer dans un village...et pour en ressortir. Les panneaux indicateurs absents, ou alors en sanscrit...
Les routes en cul de sac, pour lesquelles il faut faire retour sur des dizaines de Km, un passage en bac ou le LT ne pouvait plus avancer, ni reculer, ses espèces d'imbéciles d'employés qui pensaient qu'en forçant le passage ça rentrerait...Les inombrables gendarmes couchés qui sont ici par séries de 5 à 6 et avec des hauteurs pas possibles, qui nous obligent à reculer pour passer ailleurs... A ces routes qui n'en n'ont que le nom, car plus de route du tout, on cherche un semblant de route, on stoppe le véhicule pour étudier l'endroit ou le réservoir de GPL ne raclera pas, à la roue de secours de dessous qui nous met le LT en équilibre sur un dos de "châmeau"...Aux supports de pivots qui prennent des coups pas possibles...
A ces chauffeurs de bus qui sont de vrais criminels en vous jettant au fossé car ils ont l'habitude de vous double dans les virages alors qu'un autre bus arrive en face...
A ces "drivers" de camions poussifs qui se calent au beau milieu de la chaussée, (Pardon : chemin), et qui vous empêchent de les doubler....
A ces conducteurs qui ont le doigt collé sur le klakson quel que soit le moment, il commencent à klaksonner à votre vue, ensuite, il reklaksonnent pour vous informer qu'il veulent doubler, même si la voie n'est pas libre...Pas grave, la main sur le klakson, ils entament le dépassement en vous serrant au max, si vous les laissez passer, ils ont de grandes chances de vous jetter dans le fossé. Sauf que on ne gagne pas à chaque fois à ce jeu avec le LT, on vous informera du résultat des courses le moment venu, alors qu'il sera temps de consacrer un post dédié à la route.
Voilà pourquoi, en partie, il nous tardait d'arriver à Agonda pour décompresser avant de repartir de plus belle.
Bref, vous l'aurez compris, et on vous en dira encore plus d'ici quelques temps, il nous fallait un endroit oû se reposer.
Bien que la plage ne soit un de nos endroits préféré, nous avons trouvé un bon spot.
C'est un endroit connu des Camping Caristes qui sillonnent le pays. Vous aurez bien compris qu'ils ne sont pas nombreux.
Assez nombreux quant à ceux qui ont investi cet endroit paradisiaque .
Je pense à Eric et sa famille, les "THELIOT" qui sont partis il y a quelques années durant un an sur les routes Indiennes et qui ont fréquenté le site d'Agonda.
A "NATETJEAN", un couple de C.C qui est aussi passé par là et qui continue son tour du monde en Amérique du sud, et que je salue pour les bons tuyaux, ses points GPS. Nous suivons leur périple au travers de leur site.
Aprés le descriptif ci dessus, vous comprendrez alors que nous sommes bien tombés...
Toujours des vâches...
[/url
Vâches au couchant, soleil au levant...
Enfin du repos durant quelques jours.
Ballades sur la plage, baignades dans une eau à 34°, promenades dans le tout petit village peu fréquenté à l'époque ou nous y étions.
C'est aussi le poisson du matin qui nous est proposé par la femme d'un pêcheur et que l'on grillera entre trois pierres.
Nous louerons un scooter pour aller visiter les environs.
Nous "farnienterons" sous les palmiers;
Nous lierons contact avec cet homme qui grimpe chaque jour aux palmiers pour en récolter la sève qui une fois fermentée fera un alcool apprécié des locaux : le FENI.
Bref, vous l'aurez compris, ce fut un endroit de rêve sur la route du grand sud.
Nous comprendrons aussi pourquoi les aventuriers "Soixanthuitards", ( c'est de moi), avaient choisi ce lieu.
[url=https://servimg.com/view/15689611/418]
Il est 8H00, la femme d'un pêcheur vient nous proposer le poisson que nous ferons sur le grill pour midi.
C'est cet homme qui va récolter la sève des palmiers pour en faire le FENI.
Elle n'est pas belle la vie ?
C'est aussi le piment qui sèche au bord des routes sur la route du cap. Personne ne songerait à rouler dessus.
Il ne leur faut pas grand place pour monter une boutique...
Ils ne sont pas jolis les poissons de la vendeuse ?
Au petit matin.
Je l'appelle "la maison rouge"... juste une faute de goût, le scooter aurait pu être rouge.
Baignade du Dimanche. Les dames se baignent en saris, jamais à l'occidentale.
Un ciel d'orage en soirée. En fait, il parait que c'est courant, il ne pleut par pour autant.
Agonda est un endroit ou les couchers de soleil sont fantastiques.
Vous l'aurez bien compris, si ce n'était pas si loin de Delhi, nous y reviendrions avec plaisir...
Invité- Invité
Inde ....Suite
A nouveau, pour la troisième fois je recommence mon post de MUNNAR.
Aprés quelques jours de repos à Agonda, nous voici en route pour MUNNAR, célèbre petite ville pour ses plantations de thés, mais aussi pour la fraicheur de son climat les jours de fortes chaleurs.
Située à 1500 mètres, MUNNAR et un endroit rêvé pour les photographes en recherche d'images graphiques.
Hélas, nous aurons la pluie durant les deux jours de notre présence.
La particularité des ces plantations est qu'elles appartiennent à ceux qui les travaillent.
En effet, l'ancien propriétaire, le géant TATA qui à lui seul porte des pans entiers de l'économie Indienne, ( Nucléaire, presse, construction automobile, habillement, télécom, alimentaire), a cédé à ses ouvriers la quasi totalité de ses plantations.
Ces ouvriers gèrent les plantations en coopératives, ils tirent leurs revenus de la revente de leurs productions, ils ont eux même crée leurs propres écoles, des dispensaires... Bref, un bel exemple de déconcentration économique dans une Inde en plein développement.
Comme quoi il ne faut pas beaucoup de place pour ce réparateur de lecteurs DVD/CD.
Ce sont le plus souvent les hommes qui sont derrière les machines à coudre.
Un couple de touristes Indiens qui se "portraiture".
Une jolie indienne qui pose pour son galant devant une cascade dans la descente de Munnar.
Nous n'avons q'un seul regret, c'est de ne pas avoir eus du soleil pour randonner dans les plantations.
Par contre c'est à Munnar que j'ai dégusté le meilleur Chili Chicken depuis notre entrée en Inde.
Aprés quelques jours de repos à Agonda, nous voici en route pour MUNNAR, célèbre petite ville pour ses plantations de thés, mais aussi pour la fraicheur de son climat les jours de fortes chaleurs.
Située à 1500 mètres, MUNNAR et un endroit rêvé pour les photographes en recherche d'images graphiques.
Hélas, nous aurons la pluie durant les deux jours de notre présence.
La particularité des ces plantations est qu'elles appartiennent à ceux qui les travaillent.
En effet, l'ancien propriétaire, le géant TATA qui à lui seul porte des pans entiers de l'économie Indienne, ( Nucléaire, presse, construction automobile, habillement, télécom, alimentaire), a cédé à ses ouvriers la quasi totalité de ses plantations.
Ces ouvriers gèrent les plantations en coopératives, ils tirent leurs revenus de la revente de leurs productions, ils ont eux même crée leurs propres écoles, des dispensaires... Bref, un bel exemple de déconcentration économique dans une Inde en plein développement.
Comme quoi il ne faut pas beaucoup de place pour ce réparateur de lecteurs DVD/CD.
Ce sont le plus souvent les hommes qui sont derrière les machines à coudre.
Un couple de touristes Indiens qui se "portraiture".
Une jolie indienne qui pose pour son galant devant une cascade dans la descente de Munnar.
Nous n'avons q'un seul regret, c'est de ne pas avoir eus du soleil pour randonner dans les plantations.
Par contre c'est à Munnar que j'ai dégusté le meilleur Chili Chicken depuis notre entrée en Inde.
Invité- Invité
Inde ....Suite
Re Post dés lors que je n'ai pu valider le précédent qui s'est volatilisé dans la nature, impossible de le récupérer....
Nous reprenons la route....
Nous reprenons la route avec prudence, à voir le chargement ci dessus, il faut être prudents.
Toujours du monde autour du LT lord de nos arrêts.
Ici un miroitier qui a accepté de me tailler un miroir à la dimension de mon rétro d'origine.
En effet, à Karachi, au Pakistan, un espèce de c.... de camionneur qui voulait doubler alors que la voie n'était pas libre, ce dernier m'éjecta d'un coup d'aile et ma cassa le rétro sans compter la porte avant droite enfoncée. J'avais emporté une glace surdimentionnée que j'ai alors scotchée sur le support en attendant l'achat d'un rétro de camion.
Aprés avoir adapté la glace, cet homme a refusé d'être payé : ""c'est cadeau pour vous" en joignant les deux mains....
Pas question pour moi de partir ainsi, voyant qu'il collectionnait les billets étrangers, je lui ai laissé un billet de 10 €. Il fallait voir sa joie...: Un gamin devant le sapin de Noël aprés le passage du Père Noël !
Nous reprenons la route....
Nous reprenons la route avec prudence, à voir le chargement ci dessus, il faut être prudents.
Toujours du monde autour du LT lord de nos arrêts.
Ici un miroitier qui a accepté de me tailler un miroir à la dimension de mon rétro d'origine.
En effet, à Karachi, au Pakistan, un espèce de c.... de camionneur qui voulait doubler alors que la voie n'était pas libre, ce dernier m'éjecta d'un coup d'aile et ma cassa le rétro sans compter la porte avant droite enfoncée. J'avais emporté une glace surdimentionnée que j'ai alors scotchée sur le support en attendant l'achat d'un rétro de camion.
Aprés avoir adapté la glace, cet homme a refusé d'être payé : ""c'est cadeau pour vous" en joignant les deux mains....
Pas question pour moi de partir ainsi, voyant qu'il collectionnait les billets étrangers, je lui ai laissé un billet de 10 €. Il fallait voir sa joie...: Un gamin devant le sapin de Noël aprés le passage du Père Noël !
Invité- Invité
Inde ....Suite
Suite...
C'est qu'il fait chaud dans le sud, même trés chaud.
Nous avons souffert de la chaleur jour et nuit...
Ici deux buffles qui se rafraichissent.
Au kérala, une mosquée à proximité de la plage de sable fin ou il n'y avait personne...
Les Indiens ne sont pas adeptes de la baignade, ni de la bronzette...
D'immenses plages de sable fin sur des kilomètres, personne en vue !
Pas comme à Kovalam, célèbre station balnéaire chargée de touristes. Nous ne resterons qu'une nuit prés d'un temple Hindou qui nous déversera son trop plein de décibels insoutenables...
Ce sont des endroits plus champêtres comme celui-là que nous aimons bivouaquer.
C'est qu'il fait chaud dans le sud, même trés chaud.
Nous avons souffert de la chaleur jour et nuit...
Ici deux buffles qui se rafraichissent.
Au kérala, une mosquée à proximité de la plage de sable fin ou il n'y avait personne...
Les Indiens ne sont pas adeptes de la baignade, ni de la bronzette...
D'immenses plages de sable fin sur des kilomètres, personne en vue !
Pas comme à Kovalam, célèbre station balnéaire chargée de touristes. Nous ne resterons qu'une nuit prés d'un temple Hindou qui nous déversera son trop plein de décibels insoutenables...
Ce sont des endroits plus champêtres comme celui-là que nous aimons bivouaquer.
Invité- Invité
Inde....Suite
Suite...
C'est vrai... ça nous change des pins Landais.
Le jeune homme en polo noir se cachait our me prendre en photo avec son portable alors que je marchais sur la plage en fin d'aprés-midi.
Tel l'arroseur arrosé, je dégainais plus vite que mon ombre !
On papotttttte dur !
c'est fou ce que les Indiens sont accros de leur mobile, on les voit partout...
Ici c'est un "autoportraitiste"...
Bon souvenir que ce bivouac que l'on attendait plus.
On cherchait un endroit ou se poser pour la nuit à venir, pas si simple, on se faisait à l'idée de passer la nuit au bord de la route...
Devant nos recherches, le responsable d'une unité de poissons nous invitait à pénétrer dans l'enceinte de la maison de son patron, alors que ce dernier riche entrepreneur en import export de matériel électrique, était en affaire dans les pays du golfe persique.
Grande et riche maison située dans une immense propriété plantée de palmier, cocotiers...
La mère du "boss" était présente, elle amusait alors le nourisson de la bonne qui logeait sur place...
Le "manager" se mit en quatre pour nous proposer de dormir dans la maison, nous offrir le couvert... Bref une grande hospitalité dont nous gardons un bon souvenir.
C'est vrai... ça nous change des pins Landais.
Le jeune homme en polo noir se cachait our me prendre en photo avec son portable alors que je marchais sur la plage en fin d'aprés-midi.
Tel l'arroseur arrosé, je dégainais plus vite que mon ombre !
On papotttttte dur !
c'est fou ce que les Indiens sont accros de leur mobile, on les voit partout...
Ici c'est un "autoportraitiste"...
Bon souvenir que ce bivouac que l'on attendait plus.
On cherchait un endroit ou se poser pour la nuit à venir, pas si simple, on se faisait à l'idée de passer la nuit au bord de la route...
Devant nos recherches, le responsable d'une unité de poissons nous invitait à pénétrer dans l'enceinte de la maison de son patron, alors que ce dernier riche entrepreneur en import export de matériel électrique, était en affaire dans les pays du golfe persique.
Grande et riche maison située dans une immense propriété plantée de palmier, cocotiers...
La mère du "boss" était présente, elle amusait alors le nourisson de la bonne qui logeait sur place...
Le "manager" se mit en quatre pour nous proposer de dormir dans la maison, nous offrir le couvert... Bref une grande hospitalité dont nous gardons un bon souvenir.
Invité- Invité
Inde ....Suite
Suite.....
Non non, pas ma copine,ni celle de Myosette qui la trouverait vulgaire.
Et lui, qui comptait sa journée sur le trottoir.
Voilà le type de beignets que l'on mange principalement le midi.
C'est quasi sur au niveau des "maux de ventre" car frit.
C'est au choix : Veg ou non Veg, en clair, végétarien ou carné, c'est selon.
Veg : des légumes, piments, pommes de terre, aubergines...
Non Veg : au poulet, mouton....Pas au chien, nous avons déjà vu ça en Chine.
Les Indiens sont souvent veg. Attention aux papilles, suivant les cuisiniers, c'est la bouche et les lèvres en feu... C'est suivant la quantité d'épices qui servent à agrémenter le goût Indien. en conséquence, je, (jeff), sert souvent de cobaille...
Là nous sommes dans le domaine du non veg, c'est l'étal du boucher, autant dire qu'en Inde on devient vite végétarien... Dans le cas présent, je m'inquiétais du manque de viande sur les os, ce qui rendait hilares le boucher et son commis.
L'intérieur d'une église. On se déchausse et on laisse les chaussures à l'entrée, au risque de ne pas les retrouver... Si si, on vous comptera la mésaventure de Myosette qui n'a pas retrouvé ses chaussures aprés la visite d'un temple....
Donc, les églises : pas de chaise ou banc à l'intérieur, on tient plus nombreux...
Le Sud est trés catholique, et les offices sont suivis par des foules de croyants, y compris à l'extérieur s'il le manque de place. C'est même impressionnant de voir autant de monde aux offices.
Avec le Rajasthan, à l'ouest, le sud est trés coloré.
Les couleurs succèdent aux couleurs, les Indiens du Sud aiment les tons soutenus.
Même les pêcheurs ont souvent des filets aux couleurs vives, ça aurait une influence sur les prises, m'a t'on dit !
Maitre Corbeau sur.....
Sur la plage.
Le littoral Indien vit sur la pêche qui utilise beaucoup de monde.
Non non, pas ma copine,ni celle de Myosette qui la trouverait vulgaire.
Et lui, qui comptait sa journée sur le trottoir.
Voilà le type de beignets que l'on mange principalement le midi.
C'est quasi sur au niveau des "maux de ventre" car frit.
C'est au choix : Veg ou non Veg, en clair, végétarien ou carné, c'est selon.
Veg : des légumes, piments, pommes de terre, aubergines...
Non Veg : au poulet, mouton....Pas au chien, nous avons déjà vu ça en Chine.
Les Indiens sont souvent veg. Attention aux papilles, suivant les cuisiniers, c'est la bouche et les lèvres en feu... C'est suivant la quantité d'épices qui servent à agrémenter le goût Indien. en conséquence, je, (jeff), sert souvent de cobaille...
Là nous sommes dans le domaine du non veg, c'est l'étal du boucher, autant dire qu'en Inde on devient vite végétarien... Dans le cas présent, je m'inquiétais du manque de viande sur les os, ce qui rendait hilares le boucher et son commis.
L'intérieur d'une église. On se déchausse et on laisse les chaussures à l'entrée, au risque de ne pas les retrouver... Si si, on vous comptera la mésaventure de Myosette qui n'a pas retrouvé ses chaussures aprés la visite d'un temple....
Donc, les églises : pas de chaise ou banc à l'intérieur, on tient plus nombreux...
Le Sud est trés catholique, et les offices sont suivis par des foules de croyants, y compris à l'extérieur s'il le manque de place. C'est même impressionnant de voir autant de monde aux offices.
Avec le Rajasthan, à l'ouest, le sud est trés coloré.
Les couleurs succèdent aux couleurs, les Indiens du Sud aiment les tons soutenus.
Même les pêcheurs ont souvent des filets aux couleurs vives, ça aurait une influence sur les prises, m'a t'on dit !
Maitre Corbeau sur.....
Sur la plage.
Le littoral Indien vit sur la pêche qui utilise beaucoup de monde.
Invité- Invité
Inde ....Suite
Suite....
On ne se lasse pas de se promener sur les plages au retour des bateaux.
On ramène toujours le bateau sur la plage à la force des poignets.
Après les églises, ce sont les cimetières qui sont honorés. Suivant les régions, ils ont des particularités. C'est souvent les chêvres qui viennent manger les fleurs...
L'école des tout petits, une maîtresse.
Le sud est la région ou le taux d'alphabétisation est le plus important d'Inde, il semble approcher les 90% dans le Kérala.
La fin d'après midi, alors que le soleil peu à peu décline, la plage offre des situations apaisantes.
Toujours des couleurs qui attirent l'oeil, ici les pêcheurs qui remaillent leurs filets.
Là, c'est le ballet des "danseuses" sur la plage, il ne manque plus que la musique...
Pendant que les hommes....Dorment.
C'est impressionnant de voir des gens qui arrivent à fermer l'oeil dans un vacarme indescriptible.
On ramène toujours le bateau sur la plage à la force des poignets.
Le sud est la région ou le taux d'alphabétisation est le plus important d'Inde, il semble approcher les 90% dans le Kérala.
La fin d'après midi, alors que le soleil peu à peu décline, la plage offre des situations apaisantes.
C'est impressionnant de voir des gens qui arrivent à fermer l'oeil dans un vacarme indescriptible.
Invité- Invité
Inde ....Suite
Suite...
Toujours dans les couleurs.
Dans le cas de cette maison jumelée, chacun des deux occupants à tenu à décorer sa maison de façon différente, mais toujours avec le souçis d'apporter de la couleur.
Curieuse façon de débarrasser le filet des tout petits poissons qui y sont accrochés.
Un couple, qui pose avec plaisir, ils semblent respirer le bonheur...
A la sortie de l'école, les élèves portent tous un badge et bien sur l'uniforme, ici une école chrétienne.
Ah, les vaches, on y revient, elles donnent du lait qui est distribué par le "MilkMen", qui livre pratiquement à domicile. Les clients apportent le pot à lait et le service est rapide. Le marchand se promène à moto de rues en rues.
La "chineuse"... A peine arrêté, il y a toujours un "pékin" qui vous a repéré et qui arrive pour tenter de vous extirper la monnaie.
Pour les motards nostalgiques des vieilles anglaises des années 50/60: La ROYAL INFIELD qui est toujours fabriquée et qui se vend encore très bien; c'est un must pour ceux qui fausses "Ray Ban" sur le crâne épatent la galerie. Il est vrai que la sonorité de son échappement est incomparable.
En spot de quelques jours sur Kovalam en Tamil Nadu.
Toujours dans les couleurs.
Dans le cas de cette maison jumelée, chacun des deux occupants à tenu à décorer sa maison de façon différente, mais toujours avec le souçis d'apporter de la couleur.
Loin des "Ray Ban" sur la tête, le son de notre LT est tout aussi agréable.
En spot de quelques jours sur Kovalam en Tamil Nadu.
Invité- Invité
Re: Inde ....Suite
Whaou!
Magnifique.
Sans le bruit et les odeurs, comme disait le grand Jacques, on manque certainement quelque chose, mais ce que l'on en voit est superbe
Nous vous embrassons bien amicalement, et vous souhaitons une bonne continuation sans encombre jusqu'à votre retour parmi nous
Martine et André
Magnifique.
Sans le bruit et les odeurs, comme disait le grand Jacques, on manque certainement quelque chose, mais ce que l'on en voit est superbe
Nous vous embrassons bien amicalement, et vous souhaitons une bonne continuation sans encombre jusqu'à votre retour parmi nous
Martine et André
_________________
Linux? Pas assez cher, mon fils!
Inde ....Suite
Suite.....
André, bien pris ton message, je vais adopter tes préconisations, des posts plus courts, validés au plus vite afin d'éviter les coupures.
On repart,
L'amour maternel pour ce bébé un poil inquiété par un visage pâle qui point son objectif.
Toujours dans le même quartier, on pratique au quotidien les palabres devant sa porte.
Pauvre bougre, il casse des cailloux à longueur de journée...
Une église comme le sud en comporte des quantités, parfois plusieurs dans un village.
Encore une, et en plus elles sont ouvertes toute la journée.
Une embarcation qui tient la route, des troncs d'arbres assemblés en courbure, prêts à affronter la mer qui est ici dangereuse.
Toutes ces dernières images ont été prises dans un village jouxtant Kanyakumari, la pointe extrême du sous continent Indien.
Nous avons apprécié ce coin au point ou nous avons décidé d'y rester quelques jours, faire griller du poisson, regarder la vie des pêcheurs, des Indiens qui chaque soir avant le coucher du soleil arrivent pour boire un Tchaï, un thé au lait très sucré et parfumé avec un tas d'épices; une vraie religion en Inde.
Voilà pourquoi le LT avait sa place attitrée depuis quelques jours...
Voici le "Finistère" Indien, plus un bout de terre jusqu'au Pôle Sud.
Le Cap Comorin. A cet endroit, les eaux sont très dangereuses, le mélange entre la mer d'Arabie et le golfe du Bengale.
Nos posts futurs compterons pas mal d'images de cette région.
Myojeff
André, bien pris ton message, je vais adopter tes préconisations, des posts plus courts, validés au plus vite afin d'éviter les coupures.
On repart,
L'amour maternel pour ce bébé un poil inquiété par un visage pâle qui point son objectif.
Pauvre bougre, il casse des cailloux à longueur de journée...
Toutes ces dernières images ont été prises dans un village jouxtant Kanyakumari, la pointe extrême du sous continent Indien.
Nous avons apprécié ce coin au point ou nous avons décidé d'y rester quelques jours, faire griller du poisson, regarder la vie des pêcheurs, des Indiens qui chaque soir avant le coucher du soleil arrivent pour boire un Tchaï, un thé au lait très sucré et parfumé avec un tas d'épices; une vraie religion en Inde.
Voilà pourquoi le LT avait sa place attitrée depuis quelques jours...
Le Cap Comorin. A cet endroit, les eaux sont très dangereuses, le mélange entre la mer d'Arabie et le golfe du Bengale.
Nos posts futurs compterons pas mal d'images de cette région.
Myojeff
Invité- Invité
MERCI
Bonjour les grands voyageurs,
Un grand grand merci pour ces belles images, nous voyageons avec vous en pouponnant avec nos 2 bébés nés en 2012.
Nous vous embrassons en attendant d'autres nouvelles
Malika et Roland
Un grand grand merci pour ces belles images, nous voyageons avec vous en pouponnant avec nos 2 bébés nés en 2012.
Nous vous embrassons en attendant d'autres nouvelles
Malika et Roland
Egensperger- Nombre de messages : 56
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 25/11/2007
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum