Airvault (2) : un rassemblement festif et musical
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Airvault (2) : un rassemblement festif et musical
En France, dit-on, tout finit par des chansons. Mais ce ne fut pas vrai à Barroux où il y eut chansons et musiques tout au long de la fête.
Si l'an passé, Roland, de sa belle voix grave, nous avait donné un aperçu de ses cordes vocales en vibration, et Anthony un échantillon de ses mains démangées par l'envie de gratter, cette année fut celle de la révélation de nouveaux talents. Il ne fut pas nécessaire de les solliciter ; c'est avec naturel que Micki, Agnès et Jean Marie se proposèrent à notre appréciation.
On dit également que la musique adoucit les moeurs. Sans doute, mais ici, ce ne fut pas utile, tant les relations étaient pacifiques et chaleureuses.
Je ne commente plus la suite : imaginez les notes, et lisez silencieusement les légendes au bas des images
On dit aussi que mauvais chanteurs et musiciens font tomber la pluie en sus de casser les oreilles, et le sort qui les attendent lors des festivités est celui d'Assurancetourix. Rien de tel n'arriva parce que nos bardes répétèrent avec conscience. La preuve en image.
Et le temps fut au beau, deuxième preuve de la qualité des chants, ce qui incita bien des convives à porter le couvre-chef de son choix :
Pour continuer sur le même sujet, à savoir celui de la météorologie non perturbée par les chansons et les notes, nous pûmes nous restaurer en plein air, sous un soleil radieux. En voici la preuve en images.
Mais il ne faudrait pas croire que tout le temps de la rencontre passa en ripailles et beuveries comme pourrait le laisser croire un grand nombre de photographies comme celles-ci (je suis abasourdi de me voir si souvent dans ce reportage le verre ou la bouteille à la main, moi qui suis quasiment abstème!) :
Il y eut quand même des moments de repos et des moments presque sérieux où il fallut répondre à la presse locale :
Et il y eut aussi ce moment surréaliste où une P60 Simca dans un état flamboyant vint sur le pré ramener cinquante ans en arrière, c'est-à-dire vers leur enfance bienheureuse, la plupart des participants. Pour les jeunes, c'était un étonnement que de voir à quoi ressemblait la technologie contemporaine de leurs parents, et pour ces derniers c'était un ravisement que de retrouver des formes, des couleurs et des odeurs d'essence à jamais disparues. La P60 prit à son bord, pour les transporter dans un voyage hors du temps, aussi agréable et déconcertant que si l'on eût été en calèche, ceux qui voulurent y goûter :
André
Construit à partir des photographies originales de Jean François
Fin de la 3 ème partie
Si l'an passé, Roland, de sa belle voix grave, nous avait donné un aperçu de ses cordes vocales en vibration, et Anthony un échantillon de ses mains démangées par l'envie de gratter, cette année fut celle de la révélation de nouveaux talents. Il ne fut pas nécessaire de les solliciter ; c'est avec naturel que Micki, Agnès et Jean Marie se proposèrent à notre appréciation.
On dit également que la musique adoucit les moeurs. Sans doute, mais ici, ce ne fut pas utile, tant les relations étaient pacifiques et chaleureuses.
Je ne commente plus la suite : imaginez les notes, et lisez silencieusement les légendes au bas des images
On dit aussi que mauvais chanteurs et musiciens font tomber la pluie en sus de casser les oreilles, et le sort qui les attendent lors des festivités est celui d'Assurancetourix. Rien de tel n'arriva parce que nos bardes répétèrent avec conscience. La preuve en image.
Et le temps fut au beau, deuxième preuve de la qualité des chants, ce qui incita bien des convives à porter le couvre-chef de son choix :
Pour continuer sur le même sujet, à savoir celui de la météorologie non perturbée par les chansons et les notes, nous pûmes nous restaurer en plein air, sous un soleil radieux. En voici la preuve en images.
Mais il ne faudrait pas croire que tout le temps de la rencontre passa en ripailles et beuveries comme pourrait le laisser croire un grand nombre de photographies comme celles-ci (je suis abasourdi de me voir si souvent dans ce reportage le verre ou la bouteille à la main, moi qui suis quasiment abstème!) :
Il y eut quand même des moments de repos et des moments presque sérieux où il fallut répondre à la presse locale :
Et il y eut aussi ce moment surréaliste où une P60 Simca dans un état flamboyant vint sur le pré ramener cinquante ans en arrière, c'est-à-dire vers leur enfance bienheureuse, la plupart des participants. Pour les jeunes, c'était un étonnement que de voir à quoi ressemblait la technologie contemporaine de leurs parents, et pour ces derniers c'était un ravisement que de retrouver des formes, des couleurs et des odeurs d'essence à jamais disparues. La P60 prit à son bord, pour les transporter dans un voyage hors du temps, aussi agréable et déconcertant que si l'on eût été en calèche, ceux qui voulurent y goûter :
André
Construit à partir des photographies originales de Jean François
Fin de la 3 ème partie
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Linux? Pas assez cher, mon fils!
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