Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1)

André Mer 3 Nov - 7:37

Bonjour,

Avant de partir en vacances chacun de son côté, puis de se retrouver à Airvault pour le rassemblement d'été, nous étions convenus d'un petit séjour sur l'ïle de Noirmoutiers (et environ) pour les fêtes du 14 juillet.
Nous nous y sommes rendus par temps menaçant et c'est sous une pluie battante, après une nuit passée dans une ferme d'élevage d'escargots en Vendée, que nous avons attendus Alain et Corinne family's sur le dernier parking du continent avant le grand pont de Noirmoutiers.

Quand ils arrivèrent, la pluie cessa et le grand vent qui soufflait comme un perdu avait chassé les nuages. Un soleil puissant rayonnait alors dans un ciel limpide.
Les auspices s'annonçaient favorables soudain. Aussi, avons-nous suivi le LT vers une pinède accueillante bien connue d'Alain, afin de nous restaurer comme il convient à d'honnêtes gens en villégiature.

-

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_10

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_11

Pour la digestion, une promenade jusqu'en bord de mer s'imposait. le ciel virait rapidement au gris, et en instant, un grain fut sur nous, qui nous trempa jusqu'au os. Cela dissipe assez rapidement les vapeurs éthyliques des apéritifs réitérés.

-

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_3

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_12

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_13

Le soir venu nous décidâmes de passer la nuit sur le continent, afin de nous plier au rituel du Passage du Gois le lendemain matin, l'heure de la marée basse se situant aux alentours de 11 H. Notre choix se pora sur l'aire de service payante de Beauvoir-sur-mer, où même l'accès aux poubelles nécessite un code délivrè avec le billet de "parquage"
Le vent et le froid qui s'intensifièrent avec le soir venant nous contraignirent à nous enfermer séparément dans nos véhicule dès 20 heures.. Dans la nuit, bien au chaud sous la couette, nous écoutâmes la pluie tomber à verse.

-

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_14

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_15

Le lendemain, nous pûmes enfin passer le gué en avançant à la vitesse de la mer qui se retire, c'est-à-dire au pas lent. Il nous fallut plus d'une heure trente pour effectuer les 4 kms de gué plus les 2 kms de bouchon en amont. Mais c'est tout de même autre chose de se rendre sur l'île par le Gois plutôt que par le pont, qui est d'un banal!

.

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_16

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_17

Parvenus sur l'île à l'heure du déjeuner, il fallut trouver un endroit hospitalier, apte à nous accueillir convenablement, avec possibilté de sortir tables et chaises. Ce fut un parking plus ou moins dédié aux camping-cars, en pleine ville , où nous nous installâmes tête-bêche pour nous protéger du vent, toujours très actif, en disposant l'attirail entre les deux véhicules.
Corinne prépara des moules tandis que l'apéritif se laissa siffler sans coup ferrir. Avec le soleil qui s'était mis de la partie, ça tapait dur sur l'occiput.

-

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_18

L'après-midi fut consacré à une visite paisible de l'ïle.
-
Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_19

Dans la soirée, nous nous rendîmes sur le continent pour passer la nuit qui s'annonçait encore très fraîche. L'aire de services gratuites, avec ses services hors d'usage, que nous choisîmes se situait à La Barre-de-Monts, juste derrière l'eglise qui sonne les heures jusqu'à 22H me semble-t-il.
En attendant, petits et grands s'amusèrent sans distinction d'âge, et toute honte bue, dans le bac à sable des loupiots.

-

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_20

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_21

Noirmoutiers, en Juillet 2010 (1) Noirm_22

Le lendemain, sous un ciel gris et bas, Corinne et Alain s'en retournèrent chez eux avant de partir vers les cieux espagnols en principe plus cléments, tandis que nous nous dirigeâmes vers les Côtes d'Armor, qui ne pouvaient pas être plus venteuses que la Vendée ces jours-ci.
Heureux du présent séjour, nous l'étions également à la perspective de nous retrouver à Barroux, et d'y faire de nouvelles connaissances.
Ce qui ne manqua pas d'arriver

André