Inde ....Suite Delhi 2

Ce matin, Myosette est un poil dérangée, un microbe plus solide que les autres qui l'a laissée au lit un peu plus tard, elle me rejoindra plus tard...

Tout proche de notre bivouac, le Haut Commissariat du Pakistan, oû nous avons palabré durant des jours pour obtenir un visa qualifié "d'Impossible" à obtenir; nous y reviendrons plus tard.

C'est là que se tiennent quantité d'écrivains publics Pakistanais pour "aider" leurs congénères dans les méandres des formalités administratives pour accéder aux démarches.
Il est des demandeurs qui sont analphabètes et qui trouvent en ces "dactylos" des aides précieux.
Il faut voir les machines à écrire...Encore au carbone et d'une saleté repoussante...

Nous prendrons plaisir à faire nos courses dans le marché permanent proche de nos activités sur le net.

Les Indiens ont un large accès à la presse quotidienne. Les journaux sont peu onéreux et nombreux tant en langue Anglaise que dans les langues pratiquées dans tout le pays .


Mon "copain" le musicien qui devait avoir du mal à suivre sa partition...
Le 25 décembre fut l'occasion d'une fête particulière dans Main Bazar, des éclairages et de la musique, enfin, beaucoup de bruit comme les Indiens savent en faire...

Lui aussi, il était de la fête, il était fier de se faire tirer le portrait !

Pendant ce temps, les mendiants arpentent la rue pour récolter quelques roupies.
La vieillesse est un vrai problème pour les "anciens", pas d'argent pour se loger, ni pour manger...

Le rapport entre les "anciens" et les petits enfants est toujours agréable à voir.

Des écoliers de retour chez eux en Rickshaw collectif.

Un vendeur d'encens.
Cet homme, nous l'avons toujours vu au même endroit le soir et ce depuis plus de 16 ans.
Ca fait effectivement pas mal de temps que nous sommes venus la 1° fois, c'était en 1997 et nous sommes revenus à trois reprises.

Un temple Hindou proche de notre lieu de jour.

Il ne mange pas que les petits enfants...