Pakistan....Aller.... Suite

Toujours sur la route de Karachi, un policier en arme sur le siège passager.

Même durant la pause carburant, thé ou "pipi", nos escortes seront présentes.

Des accidents en nombre. Des camions en surcharge maxi qui le premier devers arrivé se couchent; vaut mieux ne pas être à leurs côtés...
Par contre, un post dédié sera consacré aux camions Pakistanais qui sont sans doute les plus beaux de la planête.

De jeunes enfants qui changent les lames de suspensions des camions au bord de la route...

Quant à ceux là, ils sont "spécialisés dans le domaine de la vidange poids lourds !

Chauffeur de camion au Pakistan relève aussi du métier d'équilibriste !

Au Pakistan, aprés avoir passé le Ballouchistan, nous dormirons en sécurité dans les stations services, un ou plusieurs gardes lourdement armés!

Pas facile d'aller "faire la caisse" dans ces conditions !

Premier contact avec la circulation dans Karachi !

Un camion qui tente un dépassement hasardeux, alors qu'un autre arrive en face, un coup de volant nous éjecte de la voie... Bilan : la porte passager froissée, le rétro en morceaux !
Pas de constat au Pakistan, ça n'existe pas, de plus, on ne s'arrête pas, pas de temps à perdre.
Je "scotcherai" un miroir inadapté que j'avais emporté au cas oû...

Nous voici enfin arrivés à l'Alliance Française de Karachi oû nous sommes attendus .

Attendus par son Directeur qui mettra à notre disposition les sanitaires et le WIFI.
Mais aussi attendus par le Consul de France à Karachi qui ne nous laissera pas un souvenir impérissable.
Jardin agréable qui va nous permettre de nous reposer en sachant que dés le lendemain, nous lâchons les escortes que nous avons depuis plus d'une semaine.
A la frontière avec l'Inde, nous ferons la connaissance d'un sympathique Pakistanais chrétien ce qui est rare; il nous permettra de passer la nuit sur le parking de son motel.

Nous passerons sur les douaniers Pakistanais plus préoccupés à faire du change pour leur compte, que de nous embêter avec des formalités administratives, nous passerons la frontière "les doigts dans le nez".