Pakistan.....Suite retour
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Pakistan.....Suite retour
Nous voilà à Sukkur, nous allons rencontrer une "route" impossible durant prés de 35 km, des ornières qui nous imposent souvent d'être obligés de reculer pour chercher le meilleur endroit pour ne pas "casser".
Je peste devant cette route, nous entendons de gros bruits de la lame qui doit trouver sa place sous la bride... Nous finirons par passer cette satanée "route", mais savons que le chemin est encore long et que nous rencontrerons à nouveau les routes du Balouchistan qui ne sont pas meilleures. La conduite est fatiguante, car à tout moment la casse est possible; aprés autant de chemin parcouru, ça serait bête de finir ici notre "collaboration" avec le LT.
Bien qu'il nous resterait la possibilité de louer les services d'un chamelier pour tirer le LT jusqu'à la frontière Française ...
Nous rencontrerons des enfants vendant des fruits en bord de route.
Pour avoir vécu de mauvais moments à l'aller à Quetta, nous voulions éviter cette ville et ses policiers peu engageants; nous choisirons de nous arrêter dans un petit poste de police d'un gros village en pleine montagne Balouche.
Le gardien de la police nous accueille.
Le "Patron" et son aide qui est en fait l'homme à toute faire du poste, celui qui fait le thé, qui tient le balai...
Il y a un prisonnier incarcéré dans une cellule.
On le sortira sous bonne "escorte" pour la toilette matinale qui se résumera à se passer un peu d'eau sur le visage...
Aprés quoi il regagnera sa cellule.
Toujours gardé par un policier en arme.
C'est tôt le matin, la corvée de charbon pour les villageois.
La veille, nous avions demandé une escorte policière pour 7h00, le "patron" nous annonce qu'elle sera là dans 10 mn ... De 10 mn en 20 mn pour en finir qu'à 9h00 , elle n'est toujours pas là !
Nous décidons de quitter seul le poste, sans escorte, à la Police de nous trouver une escorte et nous retrouver sur la route...
30 km plus loin, en effet, un pick-up de la police nous attend dans un virage, on leur précise que nous refusons de passer par Quetta et que nous bifurquerons avant pour rejoindre Nushki en direction de Taftan, la frontière .
Forts de notre "expérience" à l'aller, nous voulions à tout prix éviter cet endroit, ce qui fut accepté avec quelques réticences par nos "accompagnateurs"...
Nous retrouverons de beaux paysages, des mosquées et les registres oû nous inscrivons les divers renseignements demandés par les policiers aux contrôles.
Nous verrons aussi les identités des autres voyageurs qui entre-temps sont passés depuis notre passage à l'aller.
Une de nos escortes policières.
Une police tout aussi curieuse que les Pakistanais.
Une escorte avec un véhicule à l'avant, mais aussi à l'intérieur...
Je peste devant cette route, nous entendons de gros bruits de la lame qui doit trouver sa place sous la bride... Nous finirons par passer cette satanée "route", mais savons que le chemin est encore long et que nous rencontrerons à nouveau les routes du Balouchistan qui ne sont pas meilleures. La conduite est fatiguante, car à tout moment la casse est possible; aprés autant de chemin parcouru, ça serait bête de finir ici notre "collaboration" avec le LT.
Bien qu'il nous resterait la possibilité de louer les services d'un chamelier pour tirer le LT jusqu'à la frontière Française ...
Nous rencontrerons des enfants vendant des fruits en bord de route.
Pour avoir vécu de mauvais moments à l'aller à Quetta, nous voulions éviter cette ville et ses policiers peu engageants; nous choisirons de nous arrêter dans un petit poste de police d'un gros village en pleine montagne Balouche.
Le gardien de la police nous accueille.
Le "Patron" et son aide qui est en fait l'homme à toute faire du poste, celui qui fait le thé, qui tient le balai...
Il y a un prisonnier incarcéré dans une cellule.
On le sortira sous bonne "escorte" pour la toilette matinale qui se résumera à se passer un peu d'eau sur le visage...
Aprés quoi il regagnera sa cellule.
C'est tôt le matin, la corvée de charbon pour les villageois.
La veille, nous avions demandé une escorte policière pour 7h00, le "patron" nous annonce qu'elle sera là dans 10 mn ... De 10 mn en 20 mn pour en finir qu'à 9h00 , elle n'est toujours pas là !
Nous décidons de quitter seul le poste, sans escorte, à la Police de nous trouver une escorte et nous retrouver sur la route...
30 km plus loin, en effet, un pick-up de la police nous attend dans un virage, on leur précise que nous refusons de passer par Quetta et que nous bifurquerons avant pour rejoindre Nushki en direction de Taftan, la frontière .
Forts de notre "expérience" à l'aller, nous voulions à tout prix éviter cet endroit, ce qui fut accepté avec quelques réticences par nos "accompagnateurs"...
Nous verrons aussi les identités des autres voyageurs qui entre-temps sont passés depuis notre passage à l'aller.
Une de nos escortes policières.
Une police tout aussi curieuse que les Pakistanais.
Une escorte avec un véhicule à l'avant, mais aussi à l'intérieur...
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