Iran... retour suite

Toujours à Shiraz.

L'Iran compte nombre d'artistes qui excellent dans l'art de la peinture murale, je n'ai pas écrit "Tag".

Celle-ci, à quelques encablures du poste de police oû je fus "invité" à montrer mes "oeuvres .

De Shiraz oû nous passions de bonnes journées en ballades, visites, il nous restait à prendre la route de Persépolis.

Site mondialement connu pour ses ruines.

Nous nous présentions aux guichets pour régler les entrées...

Une affichette indiquait les tarifs :
- Autochtones : 20.000 rials
- Etrangers : 150.000 rials ! ( Par personne).
Je demandais s'il n'y avait pas une erreur de frappe dans les tarifs ...

En réponse, le guichetier me délivrait.....60 tickets, pas moins !
Je pouffe de rire et règle le montant demandé.

Visite du site, il ne faut pas plus d'une demie-journée, il fait déjà trés chaud en cette matinée.

De beaux restes qui attirent les touristes du monde entier.

Avec toujours des Japonais qui ont l'art de se mettre photographiquement en scêne partout oû ils passent.

Ensuite, nous reprendrons le chemin du Golfe Persique oû nous pourrions continuer notre visite.

Le printemps naissant provoqua en moi le désir de s'arrêter pour photographier ce chêne qui faisait ses feuilles;
Il s'agissait de plantations rares en ces contrées, ils fournissait des glands trés allongés.

De retour à Bushehr, sur la côte, nous retrouvions des amis, rencontrés alors que nous bivouaquions sur une placette dans cette ville.


Nos retrouvailles furent l'occasion d'une sortie pique-nique en bord de mer.
Myosette et NANA aux brochettes et Reza, le mari, au barbecue.

Après de bonnes grillades, direction le glacier...


Pour terminer la journée.

Le lendemain, nous inviterons nos hôtes au restaurant proche de notre bivouac.

De gauche à droite : Reza - Amir, le fils - Nana - et Myosette enfoulardée à l'ccidentale .

Nous resterons presque une quinzaine de jours à Bushehr, tant l'accueil des gens était formidable.


Notre lieu de vie durant quelques jours. Un quartier de la vieille ville qui donne sur la mer toute proche.

La mer éclairée de nuit par des projecteurs de couleur qui donne un côté irréel à la photo.


Une espèce de trés longue promenade , (5 km), sur laquelle les habitants viennent à toute heure se ballader, pique-niquer, prendre le frais et parfois même lors des tempêtes se laisser "arroser" comme nous l'avons déjà vu.

Tel cet Iranien qui se laisse arroser dans la fraicheur matinale !