Iran... retour suite
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Iran... retour suite
Iran....Suite Shiraz
"Autoportrait" devant la citadelle de Shiraz !
Un sérieux concurrent pour moi !
Avouez que les voitures iraniennes sont particulièrement solides...
Légère surcharge !
J'aiderais le chauffeur pour "monter" le dernier ballot de tapis tout en haut du chargement, mais restais dubitatif quand à la livraison .
L'Iran, c'est ausi le tchador ... Ce morceau d'étoffe qui "enquiquine" souvent les femmes dés qu'un courant d'air voit le jour...
Tout dépend comment on voit ces dames en noir.
Il est à préciser que le port de cette tenue n'est pas obligatoire et que les jeunes péfèrent souvent l'éviter pour des tenues plus...."Sexies".
Quant à moi, en couleur, c'est aussi noir; alors ce sera une image en Noir & Blanc .
Rassurez vous, toutes les femmes ne portent pas le tchador, il en est qui sont plus dans "le vent".
Pas "sexie" ma "mamie" au croisement de rues ?
Sans doute un peu surprise par ma rencontre ...
La condition de la femme :
On se préoccupe de la condition féminine en Iran.
-On lui réserve les places arrières des bus pour éviter d'être dérangées par les hommes.
-On les oblige à cacher les cheveux par un foulard pour éviter d'exciter les hommes.
-On leur accorde des plages privées pour ne pas être importunées par les hommes, mais elles doivent se baigner toutes habillées pour éviter un rhume si vite arrivé. Du reste ces plages sont délimitées par d'immenses protections qui font obstacle aux regards indiscrets des hommes.
-On les préserve des dangers de la route en leur interdisant de conduire une moto.
-Dans les mosquées, les femmes sont protégées des hommes en ne se mélangeant pas, un côté pour les femmes, le reste pour les hommes.
Bref, on a le sentiment que la femme est hyperprotégée, de quoi rendre jaloux les hommes. A méditer pour nos femmes occidentales pour qui il reste encore des droits à conquérir...
Dans un restaurant du bazar où nous prenions un thé...
Tout n'est pas noir en Iran...
Nous voici chez le boulanger.
Vous ne risquez pas de manger du pain de la veille, il est fait en temps réel, il faut parfois attendre que la machine débite le vôtre. D'un côté, à l'arrière, un mitron qui enfourne la pâte et de l'autre le patron qui sort le pain et encaisse la monnaie .
Le pain bouillant est ensuite déposé sur une espèce de table grillagée pour le laisser refroidir quelques instants avant que le client s'en empare.
Dans le sud de l'Iran, en avril, la température est douce.
Nous y retrouvons donc des orangers, citroniers.
Les enfants sont semble-t'il bien élevés, pas de garçons hableurs qui vous importunent oû vous causent des soucis comme dans bien des endroits.
De jeunes garçons sur le chemin de l'école.
En route vers le poste de police oû nous demandions une extension du visa Iranien, de superbes fresques peintes...
Voilà pour moi l'occasion de mettre en scène la couleur et les passants...
Je savais bien que les murs étaient ceux de la police, mais je comptais sur ma rapidité pour immortaliser ces oeuvres et m'éclipser au plus vite...
Hélas, un policier en civil me "pistait", téléphone à la main !
Je fus alors "approché" par un policier en tenue qui me "convia" à le suivre...
Entre-temps, le suivant, je retirais la carte mémoire de mon boîtier photo et en plaçait une vierge à la place, le tout en 30 secondes.
Arrivé dans les locaux, il me fut indiqué que la photo des installations "sensibles" était interdite et il me fut demandé de montrer de visu les photo prises...
Je bredouillait que les photos avaient été effacées et qu'il s'agissait juste d'un test, mais en m'excusant de ne pas savoir que la prise de vues était interdite !
"Autoportrait" devant la citadelle de Shiraz !
Un sérieux concurrent pour moi !
Avouez que les voitures iraniennes sont particulièrement solides...
J'aiderais le chauffeur pour "monter" le dernier ballot de tapis tout en haut du chargement, mais restais dubitatif quand à la livraison .
Tout dépend comment on voit ces dames en noir.
Quant à moi, en couleur, c'est aussi noir; alors ce sera une image en Noir & Blanc .
Rassurez vous, toutes les femmes ne portent pas le tchador, il en est qui sont plus dans "le vent".
Sans doute un peu surprise par ma rencontre ...
La condition de la femme :
On se préoccupe de la condition féminine en Iran.
-On lui réserve les places arrières des bus pour éviter d'être dérangées par les hommes.
-On les oblige à cacher les cheveux par un foulard pour éviter d'exciter les hommes.
-On leur accorde des plages privées pour ne pas être importunées par les hommes, mais elles doivent se baigner toutes habillées pour éviter un rhume si vite arrivé. Du reste ces plages sont délimitées par d'immenses protections qui font obstacle aux regards indiscrets des hommes.
-On les préserve des dangers de la route en leur interdisant de conduire une moto.
-Dans les mosquées, les femmes sont protégées des hommes en ne se mélangeant pas, un côté pour les femmes, le reste pour les hommes.
Bref, on a le sentiment que la femme est hyperprotégée, de quoi rendre jaloux les hommes. A méditer pour nos femmes occidentales pour qui il reste encore des droits à conquérir...
Dans un restaurant du bazar où nous prenions un thé...
Nous voici chez le boulanger.
Vous ne risquez pas de manger du pain de la veille, il est fait en temps réel, il faut parfois attendre que la machine débite le vôtre. D'un côté, à l'arrière, un mitron qui enfourne la pâte et de l'autre le patron qui sort le pain et encaisse la monnaie .
Dans le sud de l'Iran, en avril, la température est douce.
Les enfants sont semble-t'il bien élevés, pas de garçons hableurs qui vous importunent oû vous causent des soucis comme dans bien des endroits.
En route vers le poste de police oû nous demandions une extension du visa Iranien, de superbes fresques peintes...
Voilà pour moi l'occasion de mettre en scène la couleur et les passants...
Je savais bien que les murs étaient ceux de la police, mais je comptais sur ma rapidité pour immortaliser ces oeuvres et m'éclipser au plus vite...
Hélas, un policier en civil me "pistait", téléphone à la main !
Je fus alors "approché" par un policier en tenue qui me "convia" à le suivre...
Entre-temps, le suivant, je retirais la carte mémoire de mon boîtier photo et en plaçait une vierge à la place, le tout en 30 secondes.
Arrivé dans les locaux, il me fut indiqué que la photo des installations "sensibles" était interdite et il me fut demandé de montrer de visu les photo prises...
Je bredouillait que les photos avaient été effacées et qu'il s'agissait juste d'un test, mais en m'excusant de ne pas savoir que la prise de vues était interdite !
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